Rostral anterior cingulate volume predicts treatment response to cognitive-behavioural therapy for posttraumatic stress disorder
journal contribution
posted on 2023-05-17, 07:17authored byBryant, RA, Kim FelminghamKim Felmingham, Whitford, TJ, Kemp, AH, Hughes, G, Peduto, A, Williams, LM
Objective: To index the extent to which treatment response in posttraumatic stress disorder (PTSD) is predicted by rostral anterior cingulate cortex (rACC) volume. Method: We used structural magnetic resonance imaging in a 1.5 T scanner to examine subjects with PTSD (n = 13), traumatized control subjects (n = 13) and nontraumatized control subjects (n = 13). Subjects with PTSD then participated in 8 sessions of cognitive-behavioural therapy, after which we reassessed them for PTSD. Results: According to voxel-based morphometry, treatment responders had larger rACC volume than nonresponders. Further, symptom reduction was associated with larger rACC volume. Conclusion: Consistent with evidence for the neural bases of extinction learning, PTSD patients with larger rACC volume may be better able to regulate fear during cognitive-behavioural therapy and thus achieve greater treatment gains. Objectif : Indexer la mesure dans laquelle la réponse au traitement du trouble du stress posttraumatique (TSPT) est prédite par le volume du cortex cingulaire antérieur rostral (CCAr). Méthode : Nous avons utilisé l’imagerie par résonance magnétique structurelle dans un appareil de 1,5 T pour examiner des sujets atteints de TSPT (n = 13), des sujets témoins traumatisés (n = 13) et des sujets témoins non traumatisés (n = 13). Les sujets atteints de TSPT ont participé ensuite à huit séances de thérapie cognitivocomportementale à la suite desquelles nous avons réévalué leur TSPT. Résultats : Selon la morphométrie voxel, les sujets qui ont répondu au traitement avaient un CCAr plus volumineux que ceux qui n’ont pas réagi. De plus, on a associé la réduction des symptômes à un CCAr plus volumineux. Conclusion : Conformément aux données probantes relatives au fondements neuraux de l’apprentissage par extinction, les patients atteints de TSPT qui ont un CCAr plus volumineux sont peut-être mieux en mesure de contrôler la peur pendant une thérapie cognitivocomportementale et de tirer ainsi de plus grands avantages du traitement.